Sur cette grande toile noire,
Dans cette immensité abyssale,
J'ai parcouru mon regard
A la recherche d'une étoile.
Ce n'etait pas la plus brillante, ni la plus isolée
Ce n'etait pas la plus voyante, ni la plus éloignée,
Mais simplement celle sur laquelle mon regard s'est arrêté,
Une étoile simple qui m'a fait rever.
Son aura a traversé mon coeur,
Sa lumière a rassuré mes peurs.
J'ai longuement contemplé sa lueure,
Laissant mon corps au gré des heures.
Allongé dans la fraîcheur de la nuit,
Mes pensées se sont tournées vers lui,
Rien ne m'aurait perturbé pas même la pluie,
tant je m'attachais à cette nostalgie.
A la vue de cette nébuleuse,
Des sentiments enfouis on refait surface,
Et dans ma mémoire reveuse,
Je nous ai revu face à face.
Alors j'ai senti ta main dans la mienne,
ton odeur, ton souffle, ta présence,
L'amour a remplacé la haine,
je me sentais bien dans cette insoucience.
Puis je suis revenu à moi,
Vide était ma paume, c'est l'herbe qui me chatouillait,
C'est le vent que je prenais pour ta voix,
J'étais à nouveau seul dans l'obscurité...
...Mais toujours cette étoile qui me rassurait...
Dans cette immensité abyssale,
J'ai parcouru mon regard
A la recherche d'une étoile.
Ce n'etait pas la plus brillante, ni la plus isolée
Ce n'etait pas la plus voyante, ni la plus éloignée,
Mais simplement celle sur laquelle mon regard s'est arrêté,
Une étoile simple qui m'a fait rever.
Son aura a traversé mon coeur,
Sa lumière a rassuré mes peurs.
J'ai longuement contemplé sa lueure,
Laissant mon corps au gré des heures.
Allongé dans la fraîcheur de la nuit,
Mes pensées se sont tournées vers lui,
Rien ne m'aurait perturbé pas même la pluie,
tant je m'attachais à cette nostalgie.
A la vue de cette nébuleuse,
Des sentiments enfouis on refait surface,
Et dans ma mémoire reveuse,
Je nous ai revu face à face.
Alors j'ai senti ta main dans la mienne,
ton odeur, ton souffle, ta présence,
L'amour a remplacé la haine,
je me sentais bien dans cette insoucience.
Puis je suis revenu à moi,
Vide était ma paume, c'est l'herbe qui me chatouillait,
C'est le vent que je prenais pour ta voix,
J'étais à nouveau seul dans l'obscurité...
...Mais toujours cette étoile qui me rassurait...
Ton article est magnifique.