De la passion qui jaillit des êtres
Il n'en reste que du paraitre
Cette ferveur à tant s'aimer
Disparue, comme effacée
C'est bien souvent ce chemin là
Gorgé d'obstacles et de tracas
Que prend l'amour pourtant si pure
Mais difficile en aventure.
La solitude ronge leurs vies
Sentiments noirs, mélancolie
C'est la dure règle du jeu
Celle qui rend fous les amoureux
Quand tristesse remplace tendresse,
Que les écorchures apparaissent
Coulent les larmes sur les joues
Où se promenaient, fût un temps,
Les doigts délicats des amants.
Et le temps passe, les coeurs se soignent
Les larmes sèchent, les peines s'éloignent
L'histoire ne devient que souvenir
Et peut se résumer en quelques mots
C'est par ce que tout doit finir
que tout est si beau.
Il n'en reste que du paraitre
Cette ferveur à tant s'aimer
Disparue, comme effacée
C'est bien souvent ce chemin là
Gorgé d'obstacles et de tracas
Que prend l'amour pourtant si pure
Mais difficile en aventure.
La solitude ronge leurs vies
Sentiments noirs, mélancolie
C'est la dure règle du jeu
Celle qui rend fous les amoureux
Quand tristesse remplace tendresse,
Que les écorchures apparaissent
Coulent les larmes sur les joues
Où se promenaient, fût un temps,
Les doigts délicats des amants.
Et le temps passe, les coeurs se soignent
Les larmes sèchent, les peines s'éloignent
L'histoire ne devient que souvenir
Et peut se résumer en quelques mots
C'est par ce que tout doit finir
que tout est si beau.