On dit que lors d'une nuit sombre
Quand la lune est pleine et ronde
Quatre sorcières sans ombre
Entourées de mauvaises ondes
S'échappent de leur manoir;
Maison remplie de cafards
De chaudrons et de grimoires
Sans reflets dans les miroirs.
Elles parcourent les rues en ricanant
A la recherche de petits enfants
Autant naïfs qu'innocents
Aussi bêtes que méchants
Mais peu importe le rejeton,
Qu'il soit fille ou garçon
Elle leurs donnent des bonbons
Puis les tuent sans hésitation.
Le morveux n'y comprend rien
Il n'aurait pas dû tendre la main,
Il s'est trouvé bête le gamin
Quand la méchante l'a étreint.
Les sorcières ramènent donc les corps,
Comme s'il s'agissait d'un trésor,
Des enfant tout froids et morts,
Qui n'avaient rien à faire dehors.
Les parents commencent à paniquer
Ne voyant pas leur morveux rentrer,
Mais il est trop tard pour s'inquiéter,
Quand les vilaines ont déjà frappé.
Les os serviront pour la potion,
La peau pour la décoration,
Tout est bon dans le poupon,
Des marmites pour les rejetons.
Quand la lune est pleine et ronde
Quatre sorcières sans ombre
Entourées de mauvaises ondes
S'échappent de leur manoir;
Maison remplie de cafards
De chaudrons et de grimoires
Sans reflets dans les miroirs.
Elles parcourent les rues en ricanant
A la recherche de petits enfants
Autant naïfs qu'innocents
Aussi bêtes que méchants
Mais peu importe le rejeton,
Qu'il soit fille ou garçon
Elle leurs donnent des bonbons
Puis les tuent sans hésitation.
Le morveux n'y comprend rien
Il n'aurait pas dû tendre la main,
Il s'est trouvé bête le gamin
Quand la méchante l'a étreint.
Les sorcières ramènent donc les corps,
Comme s'il s'agissait d'un trésor,
Des enfant tout froids et morts,
Qui n'avaient rien à faire dehors.
Les parents commencent à paniquer
Ne voyant pas leur morveux rentrer,
Mais il est trop tard pour s'inquiéter,
Quand les vilaines ont déjà frappé.
Les os serviront pour la potion,
La peau pour la décoration,
Tout est bon dans le poupon,
Des marmites pour les rejetons.